FAQ : « Un versement… un mois plus tard. »

On nous parle d’un article « à charge » contre les assurances obsèques. On nous cite cet argument pour écarter le choix de souscrire…

Un versement en 48 heures ou… un mois plus tard.
Le versement du capital aux bénéficiaires désignés n’intervient qu’après réception d’une liste de pièces justificatives à rallonge – certificat de décès, carte d’identité, facture de la société de pompes funèbres, etc. En attendant, les proches doivent faire l’avance des frais d’obsèques.

 

> Notre réponse

La loi est la loi. Le délai de règlement légal est de 48h à compter de la fourniture du justificatif pour tout montant entrant dans le cadre du Contrat Obsèques concerné.

« Un mois plus tard », cela veut dire …un mois plus tard que la date des obsèques ? …un mois après avoir transmis à l’assureur le justificatif ? …un mois après le choix fait par le bénéficiaire des fournisseurs-prestataires ? …un mois après avoir réglé le prestataire ?

Il semble que cet argument journalistique soit juste polémique et se base uniquement sur les dysfonctionnements et/ou incompréhensions qui peuvent exister dans la relation entre l’assureur, le bénéficiaire et les prestataires.  Ce n’est pas la majorité des cas, où, le bénéficiaire gère uniquement 3 à 4 prestataires qui pourront être tous réglés directement par l’assureur (logique du tiers payant). Dans ce cas, pas d’avance de frais par le bénéficiaire. Si le bénéficiaire règle sans tenir un état des dépenses, il risque très vite d’être dépassé. Pourtant un simple tableau permet de faire la synthèse des postes de coût et ensuite de faire les meilleurs choix.

Lorsqu’un décès arrive, on a rarement l’âme d’un comptable. Pour autant on doit faire face à la réalité, toutes les entreprises qui vont intervenir dans les obsèques ont besoin d’être payées pour leurs fournitures et/ou leurs prestations. Vous comprenez aussi que la loi est la loi pour la gestion des finances de la succession. De fait, une personne, que l’on va appeler le bénéficiaire sera probablement en charge de gérer toutes les démarches afin que les volontés du défunt puissent être réalisées, en organisant l’intervention de plusieurs professionnels.
Ceci étant posé, dit, écrit, il faut aussi comprendre que certaines personnes indélicates peuvent être tentées par la somme de la garantie et non par le respect de vos volontés.
Il est donc normal que le règlement se fasse auprès des fournisseurs directement (le bénéficiaire devra donc obtenir un devis des prestataires pour le transmettre à l’assureur puis le prestataire fera la facture et la transmettra à l’assureur) et/ou devra collecter les factures qui auraient été réglées directement par elle même pour être remboursées. Prenons un exemple, vous faites appel à une société de pompes funèbres pour gérer la préparation du corps, l’achat du cercueil et la gestion de la cérémonie d’inhumation. La société de pompes funèbres vous donne un devis pour tout cela, c’est transmis et validé à l’assureur qui fera le règlement directement la société de pompes funèbres. Dans ce cas c’est bien la société de pompes funèbres qui terminera la démarche avec l’assureur. En revanche le bénéficiaire souhaite acheter par lui même les fleurs à son fleuriste habituel. Il règlera la facture de fleurs et devra ensuite la transmettre à l’assureur pour en avoir le remboursement (si le devis des pompes funèbres est inférieur à la garantie et qu’il reste une somme disponible). Le bénéficiaire peut aussi décider de payer tout ou parti du monument funéraire plutôt que les fleurs. Si la facture du monument est supérieure à la somme restante, l’assureur remboursera uniquement la somme restant disponible sur le capital choisi.

Il est donc logique et normal que le bénéficiaire fasse des choix sur ce qui sera ou non remboursé par l’assureur et ce qui sera pris en charge par la famille. Souvent les familles, les proches préfèrent payer les fleurs de la cérémonie et que tout ce qui est indispensable et nécessaire soit de l’ordre de la garantie obsèques. Mais cela reste un choix pour chacun, et aussi une gestion de vos volontés si vous envisagez un rapatriement de corps vers votre terre natale. Dans ce dernier cas, des frais de transport aérien peuvent s’ajouter. La Garantie Obsèques Universcia rend éligibles les frais de rapatriement du corps, mais aussi 2 billets d’avions pour le proche accompagnant le corps du défunt (proche pouvant bénéficier des billets : le conjoint, ascendant (père ou mère) et descendant au premier degré (frère ou sœur) de la personne assurée dont la parenté peut être prouvée par une attestation administrative). Il est évident que cela représente une charge parfois peu compréhensible dans un moment où les émotions sont fortes. Mais vous l’avez compris, il ne s’agit de pas que la valeur de votre garantie obsèques servent à rembourser des billets d’avion pour un séjour balnéaire.  Cela peut parfois créer des incompréhensions entre « ce qui est éligible » et le fameux « j’ai droit à…« . Le capital est là pour servir à 100% pour les obsèques, et non juste une logique de « je dois tout dépenser et demander tous les remboursements même si ce n’est pas tout à fait ce que j’ai payé« . Il ne faut pas oublier que les frais de cimetière sont aussi de plus en plus élevés.

En conclusion. Universcia propose à ses souscripteurs de prendre le temps de formaliser leurs volontés à l’aide d’un document qui servira de « feuille de route » au bénéficiaire pour prendre les meilleures décisions. Le coup de pouce que représente le capital garanti peut être d’autant plus efficace que l’on a imaginé l’ensemble des postes budgétaires des obsèques concernées. Voilà, il est vrai que si le défunt a préféré décider de tout avant, les proches auront beaucoup moins de choses à faire. Universcia accompagnera d’autant plus facilement que vos volontés auront été déjà exprimées. Mais, la solution de l’assurance Garantie Obsèques Rapatriement de Corps vous laisse la liberté de pouvoir changer de décision au fil des années, alors qu’un contrat obsèques en prestations restera figé et devra être réglé dans sa totalité (ce n’est pas une assurance mais une anticipation d’une prestation dont on ne connait pas la date de réalisation à l’avance). Le bénéficiaire doit être une personne qui sait gérer les relations (pour faire exécutés vos volontés) et aussi gérer un peu les finances d’un groupe de dépenses.

 

FAQ : « Cotiser pour rien… »

On nous parle d’un article « à charge » contre les assurances obsèques. On nous cite cet argument pour écarter le choix de souscrire…

Plus on vit longtemps, plus on cotise… pour rien.
Peu importe le montant des versements réglés par le souscripteur, en une fois ou sur une période de cinq à vingt ans : l’assureur versera au bénéficiaire le capital choisi au départ, entre 1 000 et 15 000 €.

 

> Notre réponse

Avec le Contrat de Garantie obsèques Rapatriement de Corps Universcia vous êtes libre de vous assurer sur la période où vous estimer le risque de décès accidentel le plus potentiel.
On parle d’un contrat « vie entière », car la grille de tarif des cotisations ne changera pas et que votre garantie sera valable jusqu’au jour où le décès survient, sous réserve d’être à jour de cotisation.
Donc oui, dans certains cas des personnes feront jouer la garantie après seulement 3 ou 5 années car un accident fatal peut arriver n’importe quand. Si vous avez souscrit cette assurance, vous êtes couvert en cas d’accident dès le lendemain. Dans d’autres cas, la souscription pourra être maintenue entre 20 et 30 ans avant que le décès par maladie ou accident se produise. Pour autant le montant de leur cotisation ne sera pas « pour rien ». Prenons l’exemple d’un foyer couvert pour une garantie de 6.000 euros, il faudra à ce foyer payer pendant un peu plus de 30 ans (de versement de cotisation annuelle) pour avoir un équivalent en matière de placement financier, qui lui se retrouvera assujetti à une taxation fiscale dans le cadre de la succession. En conclusion, vos proches n’auront pas d’argent à verser de leur poche ce que l’on peut expliqué aussi comme un héritage qui ne sera pas réduit des frais d’obsèques.

Attention : ne pas confondre avec une assurance décès (le bénéficiaire fait ce qu’il veut du capital garanti et surtout le contrat est limité dans le temps (« pas vie entière »). Dans le cadre d’une assurance décès, le calcul de risque est lui basé sur le fait que vous avez de fortes chances de ne pas décéder dans les 5, 10, 15 ou 20 prochaines années. Si vous survivez à cette période, oui l’argent versé à l’assurance sera « pour rien ».

Attention : ne pas confondre avec une souscription de contrat obsèques où vous engager à payer la totalité des frais sur votre argent (en une ou plusieurs fois). Autrement dit, vous réglez à l’avance des prestations alors même qu’au fil des années, vos dernières volontés peuvent changer (cercueil/urne, inhumation dans votre ville d’habitation/rapatriement vers votre terre natale…). Une fois réglée à l’organisme, vous n’avez plus rien à payer, même si le coût des prestations prévues a augmenté entre le moment de votre souscription et celui du décès (mais votre argent déjà encaissé aura pu être placé par l’organisme ce qui lui rapporte potentiellement une plus-value compensatrice.

Vous l’avez compris, l’argument du journaliste repose sur la confusion pouvant exister entre les assurances obsèques, les assurances décès, le contrat de prestation obsèques pour lequel les pompes funèbres font appel à un organisme financier gestionnaire.

Et pour être encore plus précis…

Attention : ne pas confondre avec une assurance vie. Dans ce cas il s’agit uniquement d’un placement financier transmissible avec une fiscalité avantageuse vers une personne. C’est une solution de placement qui, sur le principe, n’est pas prévue pour que le bénéficiaire règle des factures à votre place. Il bénéficie d’un capital transmis défiscalisé.

 

FAQ : « les bénéficiaires reçoivent moins »

On nous parle d’un article « à charge » contre les assurances obsèques. On nous cite cet argument pour écarter le choix de souscrire…

Au moment du décès, le ou les bénéficiaires reçoivent moins que les cotisations versées par le défunt.
C’est ce que montre notre comparatif de 11 assurances obsèques, publié dans le hors-série Héritage et succession de 60 Millions : aucun des contrats étudiés n’est vraiment satisfaisant. Par exemple, un souscripteur de 62 ans aura versé en moyenne près de 5 400 €, alors que le bénéficiaire ne pourra compter que sur 4 000 € vingt ans plus tard. Et le coût des funérailles augmente plus vite que l’inflation.

 

> Notre réponse

Nous pouvons être plus « accrocheur encore » que ces journalistes en vous écrivant que le ou les bénéficiaires d’un contrat obsèques ne reçoivent rien en réalité ! Effectivement l’argent sert à régler les prestataires intervenants (pompes funèbres, transport de corps, cérémonie, frais de cimetière…).
L’intérêt d’une Garantie Obsèques  dans le contexte de l’argument journalistique qui est décrié ici est tout autre. Vos proches n’auront pas d’argent à régler pour vos obsèques ou tout du moins beaucoup moins que si vous n’aviez pas cette garantie. Pour bien comprendre l’intérêt d’une garantie obsèques en capital (le cas de celle proposée par Universcia), prenons un exemple, où la personne a décidé de prendre la garantie minium proposée par Universcia. Si les obsèques couvertes par le contrat ont un coût total de 7.345 euros (moyenne des frais d’obsèques auquel on ajoute un coût de rapatriement de corps parmi les plus faibles). La personne, pour anticiper avait prévu (alors qu’on lui conseillait celle à 6.000€) une garantie obsèques seulement de 4.000 euros : il ne reste plus qu’à financer les 3.345 euros. L’assureur règlera les factures des prestataires jusqu’au montant de la garantie de 4.000 euros. La somme de 1.500 euros qu’il est possible de retirer de la succession (si le défunt possède cet argent de côté dans l’héritage qu’il laisse) ramène le besoin de financement à la somme de 1.845 euros dans notre exemple. Autrement la dette laissée à vos proches (votre conjoint, vos enfants…) est de 1.845 euros.

L’article journalistique présente le cas d’une personne qui décède à l’âge de 82 ans et a payé durant 20 ans (âge de souscription 62 ans). Avec la Garantie Obsèques Universcia, pour une garantie de 4.000 euros couvrant 2 personnes, le total des cotisations versées en 20 ans sera de 2.872,08 euros, pour un capital versé de 4.000 euros. Nous sommes donc bien loin de la moyenne annoncée par la Presse de 5.400 euros (perte annoncée par le journaliste de 1400 euros pour le souscripteur, alors qu’avec le contrat Universcia la personne a réglé 1.127,92 euros de moins que le capital de 4.000 euros).

Remarque : si la personne avait écouté notre conseil dans l’étude personnalisée, le total de ses cotisations aurait été de 4.306,56 euros, avec une garantie de 6.000 euros. La différence avec le coût réel aurait été de 1.345 euros et si elle avait en héritage la somme légale qui peut être retirée de la succession pour financer les obsèques, aucune dette ne serait restée à la charge des proches.

 

Comment peut-on imaginer la solidité financière d’un tel contrat ? Il est basé sur une logique de mutualisation et d’un fonds construit grâce à tous les contrats souscrits à tous les âges. Certaines personnes auront besoin de ce type de contrat pour anticiper un décès prématuré par accident. Malheureusement les statistiques sont là. Plus de 600.000 personnes meurent par an en France dont 400.000 ont moins de 64 ans. La garantie obsèques Universcia a été imaginée pour protéger les familles dont les enfants âgés entre 18 et 25 ans peuvent par exemple faire des études à l’étranger et peuvent malheureusement décéder par accident. Dans ce cas, le foyer a le choix de souscrire un contrat personne seule ou bien un contrat famille (alors que le chef de famille a une quarantaine d’années), et il sera peut-être arrêté au bout de 5 ou 7 ans.  Ah oui, l’aspect financier d’un contrat Universcia pour une personne seule moins de 30 ans. En 7 ans la somme totale versée sera de 169,68 euros ! CQFD  Dans le cadre d’un contrat famille, les cotisations versées pour une garantie de 4.000 euros en 7 ans seront de 630 euros. La famille peut décider l’arrêt du contrat, pensant que le risque de décès prématuré est devenu très faible (et penser reprendre ce type de contrat plus tard). Dans ce cas les cotisations seront mutualisées avec les contrats conservés jusqu’au décès de l’un des bénéficiaires. Autrement dit, soyez rassuré, le montant des cotisations est véritablement utile, soit pour votre foyer, soit dans un esprit de solidarité envers les autres parents qui auront été touchés par le risque.